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 Shisatsu Jutsugo (parée à validation)

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Shisatsu Jutsugo (parée à validation) Rouleau-kiri
Shisatsu Jutsugo
Shisatsu Jutsugo
Rang : Jônin

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MessageSujet: Shisatsu Jutsugo (parée à validation)   Shisatsu Jutsugo (parée à validation) EmptyMer 10 Juil - 18:34

[Hors Role Play]


o Prénom : Odin
o Âge* : 18 ans
o Ville : Je suis en Suisse (MAIS JE NE SUIS PAS SUISSE !!)
o Comment avez-vous connu le forum* : Le "On m'a dit"
o Comment jugez-vous votre niveau RP* : Moyen, bon, à vous de juger.


[Role Play]


o Nom : Shisatsu (à prononcer Chizatsu)
o Prénom : Jutsugo (à prononcer Joutsougo)
o Surnom : A voir plus tard
o Âge* : 25
o Villages souhaités (2 choix obligatoires, dans l'ordre de préférence)* : Kiri Gakure (on m'a proposé le rôle de garde du corps) ou Ame Gakure (là-bas par contre...)
o Capacité spéciale:
Savoir du Vivant :

Avec le temps, le jeune médecin a développé, à partir de la médecine et de sa grande connaissance du corps humain, un style de techniques bien éloigné de celui des Eisei-nin. Au lieu de se cantonner aux soins, Jutsugo a décidé d’interagir de façon plus poussée avec le patient ou la cible par le biais d’une profonde connaissance du Fuinjutsu. Ses techniques mêlent soins, attaques visant à frapper l’ennemi à l’intérieur sans laisser de trace à l’extérieur, poisons et anti-poisons. Mais le très gros problème de cet art est qu’il faut à l’utilisateur une très grande connaissance du Ninjutsu, du Fuinjutsu, du corps humain, et enfin, une très grande dextérité dans la manipulation du chakra. Attention aux personnes désireuses de sang et de violence, cet art n’est pas porté sur les dégâts lourds, c’est un style de soutien avant tout.

En bref :
-Attaques visant à endommager l’interne plus que l’externe. (Cellules, muscles, défaillance momentanée de telle ou telle région du corps etc…[pas forcément par le biais de scalpels, en fait, pas du tout])
-Poisons et anti-poisons (Réactions physiologiques)
-Le tout se fait par le biais de Ninjutsu ET de Fuinjutsu, à savoir qu’il faut maîtriser le Fuinjutsu de la manière la plus poussée possible (sinon je prends Taijutsu en spé et hop chui Superman)
-Boost via la stimulation ou le renforcement de certaines parties du corps d’un allié.

Voilà, le but de ce pouvoir n’est pas de vaincre de puissants adversaires, mais d’avoir une utilité autre que « bourrin » dans une équipe.

o Description du personnage (15 lignes minimum)* :


Si l’on devait dresser une liste de défauts, alors l’orgueil apparaîtrait volontiers en tête de liste.  J’ai conscience qu’il s’agit là d’un odieux trait de caractère –il est même l’un des sept péchés capitaux-, et c’est en toute humilité –toute orgueilleuse soit-elle- que je le proclame. Oui je suis orgueilleux, mais il aurait été bien plus vain de me dire pure de tout péché, car je suis convaincu que chaque personne en cultive au moins un. En revanche, s’il en est un que l’on ne peut m’attribuer, celui-ci est bien la gourmandise. Tout justifierait cette avance ; je ne suis pas enveloppé, au contraire, mes soixante-quinze kilos couplés à mon mètre quatre-vingts font de moi un être assez mince bien qu’entretenu au niveau musculature. Bien-sûr, tout n’est pas dans les apparences, aussi je conçois d’appuyer mes dires en me déclarant petit mangeur, autre petit défaut accentué par le tabagisme –et hop, un autre trait qui ne m’avantage pas- qui n’a autre effet sur moi que de me couper la faim, ou de la réduire tant et si bien qu’il m’est arrivé lors de notre raid sur Iwa –auquel j’ai participé- de donner la fin de mes rations –qui calent à moitié les gens normaux- à mes camarades affamés après un voyage épuisant. Mais voilà que je parle de ma faim, arrêtons-nous là et partons sur un autre sujet, voulez-vous ?

Il se trouve qu’en tant que médecin, je préfère la compagnie du calme et du réfléchi plutôt que celle de la colère et de l’impulsion. Ce trait qui est le mien fait de moi un shinobi à considérer comme stratège plus que combattant. Attention, je sais me débrouiller face à une troupe d’Iwajins des montagnes sauvages, mais nous dirons que je ne m’épanoui pas dans ce rôle. Le calme a ses bons côtés, il en a même beaucoup plus que son éternelle opposée la colère. Rester de marbre permet à la lucidité de s’installer en vous, et cette même lucidité différencie l’aveugle du bon voyant sur un champ de bataille. Mais le calme ne me sert pas qu’à conférer à mes frères d’armes un allié sage et superviseur, non, le calme a également rendu votre très humble interlocuteur très habile dans la maîtrise de ses mains, faisant de lui un chirurgien hors-pair.

J’imagine qu’en entendant le mot chirurgien, vous avez sauté au plafond et vous êtes dit « encore un malade qui découpe des corps par sadisme », eh bien… non. Mon amour pour la science n’a pas fait de moi un grand malade, j’en suis navré, je n’émettrais pas de rire machiavélique après vous avoir empoisonné ou drogué, j’en suis désolé. Vous devez par contre vous attendre à voir en moi un scientifique tout aussi fin que ces génies du mal, peut-être même beaucoup plus efficace  car je peux me vanter de garder les pieds sur terre en tout temps. Mon amour de la science –j’y reviens- m’a fait étudier toute ma vie, je suis d’ailleurs un étudiant dans l’âme, tout est bon à savoir, ingérer, digérer etc… de cette curiosité et cette facilité à me plier aux envies de l’apprentissage classique et académique est née une culture importante et par extension un sens de la répartie bien plus aiguisé, ce qui renforce mon statut de stratège et conforte mon titre de médecin savant. Je vise l’érudisme…

Ne voyez pas en moi la pauvre victime trimballant ses livres et à peine doué pour la course. Je tiens à donner une image méliorative des gens de mon genre, aussi dois-je soigner mon apparence vestimentaire. L’emploi d’habits serrés et confectionnés sur mesure est bien souvent de mise, de même que les couleurs que je porte mettent en valeur mes yeux clairs et mes cheveux châtains. Je ne suis pas aussi égocentré qu’un dandy, néanmoins, j’en ai la classe.
Les anciens –ici le narrateur cite les Grecs- considéraient que l’identité d’Homme se résumait en trois points majeurs : Vivre parmi les hommes, laisser un souvenir, et enfin, mourir. Revenons sur les deux premiers points pour parler de ma place dans la société Kirijin et l’image que je peux dégager. Notons en passant que je ne reviendrai pas sur le troisième point, car oui, je suis mortel. Je vis donc à Kirin une dictature militaire menée par la main de fer de notre Mizukage Apolyon. Et bien déjà sachez que mon rapport avec les hommes se calque sur le rapport qu’ont un médecin et son patient. En tout temps je me dois d’être gentil, presque paternel et avenant. Je suis un peu l’enfant de chœur d’un régime atrocement rigide… que je soutiens. C’est une place qui me plait car elle me permet d’être bon ami tout en étant ferme. Ensuite, vient le paradoxe : Je ne supporte pas l’autorité, par contre, je l’encourage. Tant que je ne suis pas offusqué par l’usage du pouvoir, je ne me rebiffe pas. Je suis conscient que Kiri a besoin d’un régime fort pour ne pas se laisser grignoter par les vers, et pour ne pas pourrir, il faut de la propreté, signe d’une certaine rigueur.


o Histoire (25 lignes minimum)* :

Shinkeyo Amokury… grand, physique plaisant, 90 kilos pour un mètre et quatre-vingts centimètres, un corps bien proportionné. Sa tête, ses cheveux d’argent et sa cicatrice au coin de l’œil me rappellent mon adolescence, moment où j’ai débuté la médecine, moment où des personnes dans son genre aimaient me martyriser, me rendre la vie impossible. C’est assez marrant, nous voilà maintenant adultes, j’ai mon diplôme de médecin, je suis shinobi reconnu et bon vivant, lui, il a fait la guerre, a fait jouer ses poings pour faire entendre sa voix, bref, nous avons tous deux remplis une partie de nos objectifs. Finalement, ce qui nous différencie, c’est cette période adolescente où il était le dominant et moi le dominé. Aujourd’hui, je clos son dossier et je vais le laisser mariner à la morgue le temps qu’il faudra, bien que son corps passera vite à l’incinération, ironique… N°338-91, c’est son numéro d’identification. Son identité, elle, a été prise par le Monstre Kiri pour lequel j’opère aujourd’hui. En parlant d’opération, je repense à cette plaie mal refermée qui lui a couté la vie. Je vous jure, un vrai travail de porc. Si c’est sur des médecins à peine doués de leurs mains que Kumo compte, alors Kiri n’avais même pas besoin d’attaquer… Enfin… il ira reposer aux côtés de ce très cher Uisheyi, traître Kirijin mort d’une blessure au niveau du ventre. C’est simple, avec ce scalpel que je tiens dans la main, il m’est possible de trancher vos tissus et venir chercher derrière vos intestins. Si vous n’êtes pas soigné dans les minutes qui suivent, alors vous avez de grandes chances d’y rester, si vous êtes secouru par des médecins lambda, que vous vous faites recoudre, alors je vous laisse deux-trois mois de cicatrisation avant de pouvoir bouger. Le malheureux s’est retrouvé dans le premier cas. Mieux vaut une exécution publique, enfin, c’est plus propre, au moins.

Cette lourde porte grise austère refermée, je pouvais enfin traverser le long couloir lugubre et humide qui menait à la salle d’où je venais. Tout comme ils l’étaient dans la nature, les contrastes étaient intéressants dans les complexes hospitaliers de Kiri. Je venais de quitter la salle la plus propre de l’île pour arriver dans l’antithèse de la propreté, que dis-je, l’apologie de l’insalubrité : le couloir qui menait à la sortie. Le contraste se trouvait dans le fait où ces pièces, ou parties du bâtiment, étaient voisines. La seule chose qui les séparait était cette lourde et austère porte grise soit deux carreaux de carrelage blanc donc dix-huit centimètres seulement. Deux mondes si différents, que tout opposait…si proches… le jour où les rats viendront se perdre parmi les lits gris métallique sur lesquels reposent des cadavres propres et recouverts par de tout aussi propres draps blancs, alors le monde de la saleté aura déclaré la guerre à celui de la propreté. A l’inverse, quand le personnel viendra s’aventurer dans ce tunnel armé d’une serpillère plongée au préalable dans un mélange eau chaude-javel, alors le monde de la propreté aura déclaré la guerre à celui de la saleté. Une vision presque simpliste. Pourtant, en restant à ce niveau toujours, je pense à Kiri. L’heure n’est plus à la propreté ou à la saleté, non, mais au monde des Archipels de Mizu et au reste des terres. Dans cet hôpital, je suis partisan de la propreté, mais dans le Monde avec un grand M, c’est du Mizukage et de Kiri que je réponds, or, ma nation n’est pas réputée pour la grande propreté des moyens qu’elle emploie… En même temps, je dois dire que la rigueur militaire et l’épouvantable pression qui règnent sur Kiri sont ce qui ont fait de moi ce que je suis aujourd’hui. Moi qui ne peux réagir qu’à l’adrénaline, comprenez que l’on ne menace ma tête en cas d’erreur n’est qu’une trop bonne raison pour exceller aussi bien en hôpital que sur les champs de bataille. Je ne peux quitter ma nation si laide soit-elle.

Enfin voilà la fin de ce tunnel ; à moi les couloirs éclairés et stérilisés. Vive ce temps macabre qui règne au dehors et merci à la pause de m’offrir le luxe de sortir et allumer ma septième cigarette journalière. Mes confrères et consœurs sont aussi intéressants que les couloirs désinfectés où les médecins font leur tournée. Je ne suis pas très bon en comparaisons, aussi disons simplement qu’ils sont ennuyeux. La grande majorité ne sont pas très talentueux, ils sont bons, c’est tout. Aucun ne connait le cœur de la bataille, tous sont des meneurs d’équipes médicales d’arrières lignes et sont assez orgueilleux pour s’en vanter –vous comprenez, sans eux, la victoire aurait été impossible-, dur à dire, mais je hais les médecins. Nous parlions de contraste en voilà un qui englobe un paradoxe poussé : un médecin qui n’aime pas les médecins. Autre paradoxe : Un médecin qui fume ?!  Vous l’aurez compris, je suis un homme assez paradoxal. Mais rassurez-vous, nous le sommes tous.  L’humain est un ensemble dont je me suis fixé d’être savant, aussi je dois prendre en compte la machine et son esprit -si tant est que l’on puisse attribuer esprit à une machine-, mais ce n’est pas tout !

Enfin… le fait est que mes confrères ne repaissent pas mon envie furieuse de conversation un tant soit peu intéressante, il ne me reste plus qu’à me diriger vers la direction et faire mon rapport, le tout sans oublier de faire un petit crochet par la comptabilité et négocier une rénovation du couloir précédemment cité. Je sais bien que rien n’est plus ennuyant qu’un récit aussi plat qu’est le mien, mais c’est ma vie de tous les jours. Eh oui, je ne suis pas envoyé en mission H24 sept jours sur sept. Dommage, l’un des nombreux avantages de ces missions est sans aucun doute la très grande diversité d’endroits qu’elles permettent de visiter. Un médecin doit savoir synthétiser, et en ma qualité de médecin, je dois, en deux jours en moyenne, tirer le maximum d’informations des contrées que j’explore tout en les soumettant à mon pays. Par informations, j’entends bien évidemment tout ce qui intéresserait un médecin, la botanique, par exemple. En parlant de botanique, observons les quelques pauvres plantes qui bordent le petit chemin pavé qui mène au bâtiment de la direction. Toutes sont parfaitement typiques de Mizu, et aucune ne présenterait une alliée quelconque sur le champ de bataille, de bien médiocres éléments. Décidemment, il semblerait que pour avoir développé un esprit aussi injuste et hautain envers ces variétés aux vertus décoratives, j’ai été coupé du monde des découvertes botanique trop longtemps. Mon laboratoire personnel –une pièce de 15 mètres carrés dans les caves de l’immeuble dans lequel j’ai élu domicile- manque de divertissements, je pense. Au pire, je peux toujours faire la demande d’une serre auprès de la direction. Les recherches botaniques permettraient au pays de mieux équiper ses équipes médicales sur le terrain, de pourvoir les médecins de nouvelles drogues et poisons dont un ennemi mal préparé ne saurait se défaire. Vous savez, je suis sûr que mes théories sur la médecine dans le monde militaire ont de quoi révolutionner l’art de la guerre.

Vous vous dites sans doute que je suis orgueilleux, et vous aurez sans doute trouvé mon péché capital favori, mais vous pouvez me faire confiance quand je vous dis que j’ai mon poids sur un champ de bataille, et il n’est pas négligeable. Mais revenons-en à notre petite fin de journée monotone, baignée par la lourdeur de l’air et écrasée par la sombre teinte du ciel. Enfin non, ne continuons pas à faire le décompte des évènements. Savez-vous pourquoi cette journée est exceptionnelle ? Parce qu’elle est plate, monotone voire ennuyeuse. Ici, je ne vous fait pas l’éloge de mon superbe clan aux superbes pouvoirs, les invités de marque tels que d’anciens combattants prenant le thé dans une maison typique et pittoresque ne sont pas les bienvenus, et c’est ça finalement qui fait de cette journée Kirijin une perle. Nous vivons dans la réalité, nous avons laissé les méandres des vieilles traditions de côté pour accueillir et embrasser cet esprit militaire structuré qui fait de nous de vrais soldats, qui fait de notre armée un bulldozer, un fléau pour les nations trop embrumées par les traditions folkloriques. D’ailleurs, -d’ailleurs votre Narrateur a envie de vous souhaiter la bienvenue dans le Soviet Suprême- je pense qu’il n’est nul besoin de vous en conter d’avantage. Croyez-moi, vous saurez aimer Kiri, vous vous exalterez à chaque respiration d’humidité, et vous laisserez bercer par les gouttelettes d’eau échappées de murs à l’étanchéité discutable. Vous aussi qui rêvez d’une nation hostile, vide de liberté et portée sur la domination vous serez comblés. Une seule condition seulement. Suivez de près mon histoire.  

o Avez-vous des remarques ou des informations complémentaires à nous faire part ?
Oui. J'espère que ça va durer. Kirikirikiri.
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Shisatsu Jutsugo (parée à validation) Rouleau-kiri
Apolyon
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MessageSujet: Re: Shisatsu Jutsugo (parée à validation)   Shisatsu Jutsugo (parée à validation) EmptyMer 10 Juil - 19:03

    Génial... J'ai pas d'autres mots à dire. Le Rp à la 1ère personne est rarement utilisé et je trouve que tu le maîtrise parfaitement.

    Je te met donc Jônin de Kiri et de rang S !

    Bienvenue à toi ! Pense à faire ta fiche technique pour enfin commencer le rp, si tu as des questions passe dans le bureau du staff.
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https://narultimate-rpg.forumactif.org/t136-yoshimori-apolyon-sum
 

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