[Hors Role Play]
o Prénom: Kini' (non non pas cuni)
o Âge*: 13 ans et demi
o Ville : Bourg Palette
o Comment avez-vous connu le forum*: Je suis un random qui passait par là
o Comment jugez-vous votre niveau RP*: Entre médiocre et lamentable
[Role Play]
(j'ai commencé par la description morale au lieu de la description physique, ce n'était absolument pas prévu, je n'ai pas fait attention...)
o Nom : Fujiwara
o Prénom : Masato
o Surnom : Nagareboshi
o Âge*: 25 ans
o Villages souhaités (2 choix obligatoires, dans l'ordre de préférence)*: Kumo & Konoha
o Ancien village (uniquement pour les Nukenins) : ////
o Grade maximum souhaité*: Grade maximum souhaité
o Capacité spéciale : Kinton/Hikariton/Gravité/Espace-temps (dites moi lesquels sont envisageables)
o Description du personnage*:
Serein, sadique, sournois et savant. Voici la définition la plus brève et rigoureuse que nous puissions faire de Masato. Présenté de cette façon, le spécimen peut paraître très déplaisant, il n’en reste pas moins infiniment attachant et nous essaierons de savoir pourquoi dans la suite de cette description. Tout d’abord, le concerné, malgré le visage sain et doux qu’il aborde, est en vérité plus fourbe qu’un renard et n’hésitera pas un seul instant à tirer profit d’une faiblesse adverse de la pire façon qui soit. Remarquez, sur le terrain, c’est plutôt un énorme atout qu’il a en sa possession, mais lorsqu’il s’agit de créer des liens amicaux ou quoique ce soit d’autre, ça peut vite tourner au casse-tête.
Aussi sadique et perturbé qu’il puisse paraître par moment, Masato est toujours maître de lui et de ses émotions. Même lorsqu’il paraître énervé ou triste, ce n’est en général qu’une mise en scène pour obtenir une attention, un quelconque objet ou voire même, des informations. Tenir une discussion honnête, sans la moindre entourloupe avec lui est chose assez difficile à faire, mais qui peut néanmoins arriver de temps à autre lorsqu’une infinie bonne humeur s’empare de son être.
Il est donc à ajouter à la liste des « qualités » de notre ami, un énorme talent de comédien ! Le plus perturbant reste quand même le fait qu’il a parfois sincèrement l’air de croire aux inepties qu’il débite, ou bien d’être très sérieux lorsqu’il parle de faire griller des enfants sur un bûcher parce qu’ils auraient acheté le dernier sucre d’orge de la confiserie. Toutes paroles, aussi ridicules qu’elles soient peuvent sembler parfaitement plausibles lorsqu’elles sont énoncées par cet homme avec l’air le plus impassible qui soit.
Avec le peu de point que nous venons de soulever, nous ne pouvons que conclure sur le fait que notre shinobi aux cheveux noirs est quelqu’un de suffisamment intelligent pour garder son calme et cette facette de lui en toute circonstance et ce malgré les aléas de la vie. On notera surtout qu’il fit preuve à plusieurs reprises d’une faculté d’analyse tout simplement extraordinaire, lui permettant ainsi de prévoir un maximum de scenario, pouvant de ce fait anticiper autant d’obstacles que possible.
Après cette brève description psychologique, passons au portrait physique de notre héros. Tout d’abord il faut savoir que Masato a un physique étant le parfait reflet de son âge. Avec ses 24 printemps au compteur, notre protagoniste est assez grand, atteignant facilement le mètre 85 pour une masse de 67kg, rien de vraiment impressionnant, sans pour autant être un chétif petit homme. Il dégage une aura qui au premier abord le ferait sans aucun doute passer pour le petit prince de sa nation, et cela jusque dans sa démarche, autrement dit, une attitude fière et majestueuse.
Doté d’un visage aux traits doux, sur un teint très pâle, notre ami n’aurait aucun mal à se faire passer pour un véritable zombie si son visage daignait bien vouloir se décomposer un peu. Il s’agit là du genre de couleur de peau pouvant en effrayer plus d’un, pourtant elle lui va à ravir. Ses cheveux sont d’un noir envoutant et sa coiffure aussi indescriptible qu’un phoque dans le désert du Sahara. Nous pouvons aussi noter que sa chevelure est très lisse lui octroyant une rare beauté qui dissimule par la même occasion son front. Masato aborde en général un regard froid et ce même s’il ne le veut absolument pas, ajoutez à cela son petit nez pointu, sa bouche inexpressive et ses joues plates, pour avoir un faciès des plus inquisiteur existant.
Ses épaules, carrées, sans pour autant être exceptionnellement larges, sont le résultat de ses années de métier de shinobi et lui octroie une carrure parfaitement adaptée pour une grande agilité tout comme résistance optimale. Les mains de notre ami sont douces et ses doigts aussi fin que ceux d’une demoiselle, laissant apparaître une fausse fragilité à ce niveau-là, les menottes en question n’en restent pas moins longues pour autant. Ses jambes élancées sont parfaites pour son style de combat : rapide et précis, sans le moindre mouvement inutile. Et c’est ainsi que s’achève le portrait de notre protagoniste.
o Histoire (25 lignes minimum)*:
Je vais prendre la suite et vous raconter moi-même les évènements marquants de ma simple vie. Il faut tout d’abord savoir que je ne suis aucunement né d’un clan de robustes ninjas ou quoique ce soit, non. En revanche mes parents furent à une époque à la tête d’un des plus gros réseaux marchands avant la dernière grande guerre. Je suis donc né il y a 25 années, le 1 février par une nuit de calme mortuaire. Avoir une nuit paisible par ces temps de guerre qui régnaient était très inquiétant car si les combats ne faisaient pas rage, cela signifiaient que chacun se préparait à mener de plus lourdes batailles encore. Mais passons. Ma naissance fit de ma mère la plus heureuse des femmes tandis que mon père s’empressa de penser à une manière de me faire éviter ce climat de tension qui ne pouvait qu’être mauvais pour l’éducation d’un enfant.
Bref, comme vous pouvez le comprendre, mon paternel a tout fait pour éviter que je sois exposé au monde shinobi, à leur guerre, et cela fonctionna plutôt bien pendant un moment, mais on ne peut fuir l’inévitable indéfiniment. Agé d’une bonne quinzaine d’années, je pus voir le sacrifice d’un homme courageux, pour la survie de sa femme et de son enfant, mon père avait attiré nos opposants dans la cuisine pendant que nous fuyions la maison, cet acte de bravoure lui valut la mort. Dès lors, la vie pris un tout autre tournant, il était maintenant de mon devoir de protéger ma mère et ce au prix de ma vie. Pour cela il me fallait apprendre à me défendre, et quoi de mieux pour cela que de devenir moi-même un ninja à part entière. Je vous laisse imaginer à quel point ma mère s’opposa à cette initiative, mais rien n’y fit, j’étais déterminé.
C’est ainsi que j’intégrai les rangs du village de Kumo. À l’époque ils acceptaient n’importe qui ayant subi des dommages de la guerre et les entrainaient avec une fermeté sans faille. Pas une seconde de détente n’était autorisée, et le peu de moment de repos que l’on pouvait avoir, on les passait généralement à écrire à nos familles, pour ceux qui en avaient encore… De mon côté, j’écrivais à ma mère en lui disant que tout se passait bien, que ce que j’apprenais était impressionnant et que je devenais chaque jour plus fort. Evidemment je lui évitais tous les détails atroces style torture mentale, bourrage de crâne et les épreuves de survie qui pouvaient vite tourner au carnage intégrale. En même temps il fallait avouer que je m’en sortais plutôt bien jusque lors, je n’avais aucune blessure grave, rien qui pourrait laisser une quelconque cicatrice et j’étais encore maître de mes pensées.
Cette formation dura un an. Pendant une année je ne fis que cela, m’exercer, et pus apprendre tout un tas de chose sur les disciplines de bases que sont ninjutsu et taïjutsu. J’avais beau être doué en ninjutsu, et pas mauvais en taïjutsu, ma maîtrise du genjutsu laissait vraiment à désirer. Il fallait s’attaquer directement aux sens de l’adversaire, chose que je trouvais ignoble, bien que très efficace en duel. Ce à quoi je ne m’attendais pas, c’était que l’on me bloque à Kumo après ma formation et que je sois ainsi dans l’impossibilité de retourner auprès de ma mère, qui devait attendre impatiemment de me revoir. Je pris un moins supplémentaire pour réussir à décrypter le schéma de surveillance du village et 2 jours pour mettre au point une stratégie me permettant de prendre la fuite. Même ce plan comprenait des risques, je l’exécutai sans plus attendre et par chance, pus retourné à la maison.
J’eus la bonne surprise une fois de retour, de constater que le lieu pris pour habitation était encore debout, et cela signifiait qu’il n’avait pas été attaqué. Rassuré, je frappai la porte d’entrée en m’annonçant. Je n’affichai qu’un air ébahi en apercevant ma mère qui n’avait pas changé d’un poil. Alors que j’avais en ce qui me concernait, raffermis mes traits de visage et pris quelques centimètres en plus d’un certain nombre de kilogrammes. Les larmes aux yeux elle m’enlaça au point de presque m’étouffer ! Il fallait bien l’avouer, j’étais tout aussi heureux qu’elle de la revoir, mais cette année que j’avais vécu semblait avoir extirpé toutes les larmes de mon corps. Même en étant de retour à la maison, je poursuivis mon entrainement à chacun de mes moments libre afin d’être prêt à faire face à toutes les situations. La vie repris tranquillement son cours pendant une nouvelle année, mais je n’aurais jamais pu prévoir les évènements qui suivirent.
En désertant Kumo, étant donné que je n’étais encore qu’un petit soldat, je ne m’attendais absolument pas à ce qu’ils me recherchent, très mauvais jugement de ma part, car en vérité, ils avaient placé ma génitrice sous surveillance dès lors que j’avais rejoint leur rang et purent contempler mon retour à la maison avec joie. Le jour ou une escouade du village des nuages fit irruption chez nous, il m’expliquèrent que si on ne m’avait pas encore ramené au village, c’était uniquement parce que les affrontements se faisaient moins violents, mais qu’ils reprenaient de l’ampleur ces temps-ci, et que si je ne voulais pas que ma seule et unique famille soit emprisonnée ou assassinée, il me fallait revenir au village et assumer mes fonctions de shinobi. N’ayant clairement pas le choix, je retournai à Kumo avec la ferme intention de faire cesser ces affrontements le plus vite possible. Ce que je n’avais pas prévu, c’était que Kiri s’attaque à notre village avec toute sa puissance militaire, et là, c’est le drame.
Nos terres furent dévastées, nos troupes ravagées. Nous n’avions absolument rien pu faire. Ce ne fut pas une bataille, mais la fessée du siècle. Alors que les derniers hauts gardés qui avaient survécu débattaient sur l’avenir du village, je m’empressai de retourner auprès de ma mère pour savoir ce qu’il avait bien pu lui arriver et lorsque j’arrivai, rien, absolument rien. Tout était détruit et elle disparue. Pris de rage et d’inquiétude, je fouillai les parages des jours durant à la recherche d’un quelconque indice, et la seule que je fus en mesure de retrouver, fut un bandeau à l’emblème de Kiri… Ne pouvant pas m’attaquer seule à un village entier, je retournai à Kumo et pus m’apercevoir qu’un nouveau Raïkage avait été élu. Je m’installai sur place avec pour nouvel objectif de devenir suffisamment fort afin d’aller directement leur faire payer pour m’avoir enlevé ma dernière famille. C’est ainsi que je devins shinobi à part entière et la suite, la voici, dans mes prochaines aventures.
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