o Prénom : Gaëtan
o Âge* : 20ans
o Ville : Perdu en Alsace
o Comment avez-vous connu le forum* : Je suis un ancien de NU
o Comment jugez-vous votre niveau RP* : Correct je suppose




o Nom : Nishimura
o Prénom : Senzo
o Surnom :
o Âge* : 23ans
o Villages souhaités * : Suna ou Kumo
o Ancien village (uniquement pour les Nukenins) :
o Grade maximum souhaité*[/i] : Jonin
o Capacité spéciale : La capacité de recouvrir la peau d'une couche de carbone (semblable à Greed de Full Metal Alchemist) en augmentant celui déjà présent dans le corps.

o Description du personnage (15 lignes minimum)* :

o Histoire * :

Je suis née et j'ai grandi ici, sur les dunes, à côté des scorpions et autres bêtes à sang froid. Un nomade, c'est ce que j'étais. Mon père disait que quand on née nomade on meurt nomade, j'en sais rien et je m'en fou, au pire on verra bien, j'espère quand même avoir le temps de profiter avant de clamser. Il faut savoir que tout ce dont je vais vous parler je l’ai lu dans un vieux bouquin à moitié calciné dans lequel mon vieux écrivait tout ce qu’il vivait, une sortie de journal intime, je vais donc vous faire part des grandes lignes avant ma naissance. Parlons donc de mon père, de la famille, la grande patrie des hommes du désert. Je suis un Nishimura, certainement le dernier de la lignée d'ailleurs, fils, petit fils et arrière petit-fils de nomade, j'ai été élevé dans le sable et l'aridité. Mon père c'était le patriarche, le chef de clan quoi et ma mère la fille d'un autre chef, des histoires de mariage et de relation, de la politique ou je sais pas trop quoi.

Mon paternel, Nishimura Egao pris très tôt la tête du clan, mon grand père étant mort de maladie, il eu la charge de diriger la famille et de la faire prospérer, pas bête et surtout bien renseigné il lui vient l'idée de transformer notre clan de nomade en convoi de transport de marchandises, quoi de mieux qu'une centaine d'homme connaissant le désert comme leur poches pour amener à bon port les biens des cités de Kaze no Kuni ? Surtout qu'on était pas les dernier pour tout ce qui est bagarre, il était pas rare qu'on se fasse attaquer par des bandits de grands chemins lors de nos voyages, alors tant qu'à faire autant qu'ils aient une vraie raison d'essayer de nous voler. Ainsi donc commença le périple des Nishimura.

On vagabondait à travers tout le pays, tranquillement, mais surement. Le bétail, les armes, l'eau, le vin, toutes sortes de denrées et autres matériaux, notre rôle c'était de les transporter, les amener d'un point A à un point B. Jamais on ne restait longtemps en cité, l'appel du "large" qu'il disait le daron, moi ça me gênait pas, après tout j'ai baigné la dedans depuis tout petit, jamais posé au même endroit, toujours près à décoller, jamais d'attache, nos seuls biens c'était nos proches et nos caravanes et pour ce qui est de la marchandise, rares étaient les fois où les assaillants s'en sortaient indemnes. De ce que je me souviens, la seule perte de marchandise a eu lieu lors d'une immense tempête de sable.

Bien souvent le fait d'amener à bon port un convoi nous permettait d'avoir de la nourriture ou encore des livres, l'argent ne servant pas spécialement dans le désert, qu'est-ce que j'irais foutre avec un billet si une tempête se déclare ou si un mec veut me voler hein ? A l'inverse, si je suis bien nourri je l'éclate et on en parle plus. Ces échanges de bons procédés permettaient, plus souvent aux enfants, de se cultiver, d'en apprendre plus sur le monde qui nous entoure.

Que du bonheur... ou pas. Bientôt, les plus jeunes, attirés par la vie plus facile que pouvait leur offrir la sédentarité, commencèrent à se rebeller et deux noyaux se formèrent, l'un dirigé par mon père qui voulait garder les racines du clan intactes et l'autre regroupant tous les membres souhaitant accéder à une vie plus aisée et moins dangereuse. Il y eu pas mal de conflits, les frictions morcelèrent petit à petit la fratrie allant même jusqu'à des combats, il y eu des morts, beaucoup trop de morts pour une broutille pareil. Mon père décida de mettre fin à tout cela en libérant les hommes souhaitant se sédentarisé, il ne voulait pas plus de violence et ne souhaitait surtout pas voir la famille se déchirer plus.

Le clan se scinda en deux et tout le travail effectué durant les précédentes années fut réduit à néant, la force du clan, si je puis dire, ne suffisait plus à satisfaire les conditions pour le transports de marchandises, les chefs de villages ne voulant pas prendre le risque de perdre leur bien dans un convoi pas assez sécurisé.

Dés lors les choses devinrent plus compliquées. Moins de membres, moins de travail, moins de denrées, plus de maladie, tout ceci cumulé aux dangers du désert faisait que beaucoup parmi nous commencèrent à baisser les bras. Un bon mois passa, période durant laquelle la situation stagna, on essayait de s’en sortir, chacun donnait du sien pour faire en sorte que le clan ne sombre pas. Mon père dû mettre en place un régime de restriction, faire en sorte d’éviter les naissances, le gaspillage, tout était rationné même la nourriture du bétail, l’eau surtout, denrées prioritaire, était conservée précieusement. Nous passions le plus de temps possible proche des oasis.

Paradoxalement cette période d’austérité prit fin au moment où l’état du monde s’aggravait. Mon père eu connaissance de quelque chose qui allait « sauver » notre clan. Partout sur le globe se répandait une maladie dont personne n’avait le remède et il comptait bien profiter de cette situation. Nos voyages s’intensifièrent, nous parcourions le pays à la recherche de médecins capable de soigner les malades, mon paternel avait dans l’idée de se proposer pour transporter les remèdes à travers Kaze no Kuni et qu’arriva t-il ? Le pays du vent fut le premier à trouver un médicament contre le fléau, une aubaine tout autant qu’un cadeau empoisonné.

Grace à certaines relations le clan fut chargé d’amener des doses à certains villages reculés. Cela dura un certains temps, malheureusement le pays ne comptait pas faire perdurer cette période de paix et il se lança dans une offensive contre Konoha, une attaque perdue d’avance, Suna fut littéralement écrasé par la puissance du village de la feuille perdant par la même occasion l’exclusivité du remède. Le médicament répandu à travers les pays voisins ne tarda pas à devenir inutile aux yeux de mon père et il passa de longues années sans nouvelles améliorations. La guerre mondiale continuait de plus belle, par moment elle profitait au clan et d’autres fois c’était l’inverse.

Je suis née dans cette période, il y a 20 ans, plus chiante que les autres, j’ai pas eu de chance je crois. Malgré tout je sais pas si je peux me plaindre, mes parents faisaient tout pour que je ne manque de rien, prévoyants ils se mirent en tête de m’apprendre les arts martiaux, paraitrait que nos ancêtres étaient autrefois des ninjas qui avaient la capacités de recouvrir leur peau du carbone présent dans leur corps. Mon père avait ce pouvoir et souhaitait que ce soit mon cas, comme un cadeau qu’un paternel fait à son fils.

Deux années durant j'ai subit un entrainement de ninja, mon père avait dans l'idée que s'il arrivait quelque chose au clan je pourrais rejoindre le village caché su sable et surtout défendre la famille

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Up.
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